La Vanoise, un des parc qui m’a le plus toucher en France, ce paysage si somptueux, gigantesque, puissant, sauvage, indompté, avec une diversité de paysages, de faunes, et de flores exceptionnelles, une randonnée difficile, mais qui vous éblouit de toute ca beauté, a travers marmottes, neige, glace et roches, venez découvrir avec moi.
Les chiffres de mon expédition

+1900/2100

25-27Km

3015 Altitude max

-1900/2100

2 jour

2 étapes
Parcours de randonnée

Etapes 1 : Plan d’aval – Le fond de l’Aussois – Col d’Aussois
Les chiffres de l’étape

+950/1100

10-11Km

3015 Altitude max

–480/600

6-7H

Sentier de découverte.




Un endroit tellement idéal, et si sauvages, que c’est rapidement devenue un de mes meilleurs spots de randonnée, Lac turquoise, montagne majestueuse, faune très présente, et des point de vue… Bref ce fut une pur gourmandise cette expédition, mais aussi une grosse difficulté.
J’ai donc commencer au plan d’aval autour de 1800m d’altitude sur les alentours de 11h environs, déjà première heure de randonnée c’est rapidement un autre paysage que l’on aperçoit, en dehors de la vallée de la Maurienne et de ces constructions, il ne reste plus rien, que cette nature sauvages et pure.










Pour me diriger par la suite vers le fond d’Aussois, des paysages sauvages, mêlant ruisseaux et verdures, mais aussi marmotte, car oui il y ‘en a partout ici, un gite et d’ailleurs disponible dans cette vallée, et bien d’autres au alentours.
Un troupeaux de vache pouvait ce balader sur toute la vallée, il sont d’ailleurs venue ce faire caresser par les randonneurs, et je les ait revue sur le bout de la vallée quelques kilomètres plus loin en train de suivre le chemin.



















Mentalement cette expédition ne fut pas simple, loin de la, car quand tu te retrouve en face d’une montagne si balèzes a grimper, sans compter la neige visible sur le haut ce demandant si ca ne vas pas être trop risquer de passer par la, il faut la motivation et l’envie.





C’est donc partie pour la grande montée, bien raid, mêlant ruisseaux, verdures qui disparait au fils du parcours, d’ailleurs les traces du parcours sont peu visible et la plupart du temp vous emprunterez du hors sentier sans vous en rendre compte donc toujours faire attention, car oui, généralement les sentier de montagne ne peuvent pas être entretenue et modifier comme pour la plupart des randonnée en plaine ou moyenne montagne, car on parle de sentier mais cela reste des roches a grimper, donc avoir un bonne équilibre et le strict minimum.







Puis la verdure vient a disparaître presque complètement pour laisser place a la roche et a la neige. un bouquetin a d’ailleurs fait une rapide apparition sur les hauteurs du cols.


Et me voila arriver sur le col d’Aussois située a 2914m altitude, et je continue ma route jusqu’au environs de la pointe de l’observateur située a 3016m altitude, de la je suit rester une petite heures a contempler ce magnifique paysages, le bivouac aller ce faire soit ici soit un peut plus bas dans la vallée, avec ma tente que j’avais a ce moment, étant une tente de remplacement, je ne pouvait pas me permettre de camper en haut d’un col a 3000m.















Pour camper ‘ai donc décider de descendre un peut dans la vallée de l’autre coté, quand j’ai commencer a descendre il devait être 17h30 environs et je n’ait vue personne descendre par ce chemin, sur l’autre chemin qui monte au col d’Aussois j’ai croisée un peut de personne mais de l’autre cotée, pas un chat, le chemin ce perd très rapidement dans les roches, c’est donc en hors piste que je suit descendue, essayer toujours de suive les traces de sentier quand cela est possible, surtout en montagne, car a cette endroit, le réseaux vous pouvez l’oublier, qu’importe votre opérateur, ca peut rapidement devenir compliquer, mais oui les sentier sont seulement indiquée par une petite trace sur les roches avec des couleurs peu visible a mon gout, mais bon il ne peuvent pas faire autrement.













J’ai d’ailleurs eux droit a plusieurs névé, dont une que j’ai descendue sur les fesse, beaucoup trop glissante, par chance, plus bas, j’ai pus rencontrée 2 femelles bouquetin, et 4 jeunes bouquetin, je me trouver a quelques mètres d’eux, il m’ont entendue et vue a plusieurs reprise, mais il ont sentit que je n’avait pas de mauvaise intention et m’ont complètement ignorée, il faut aussi savoir que si il ont pas peur de l’être humain cela vient du fait qu’il ne sont pas chassée, et donc seront moins craintif, j’aurait pus y rester beaucoup plus longtemps mais il était déjà quasiment 19h quand j’ai arrêter de les observer il fallait maintenant que je trouve un endroit de bivouac, et ce fut pas une mince affaire, car c’est une zone très humides, les ruisseaux coule dans tout les sens de la vallée, venant principalement des glaciers et des névés restantes, et donc l’herbe et la terre et très humide et aussi mou qu’un matelas, sans compter qu’un orage avait des chance de tomber dans le coin le soir même, il a donc fallut que je trouve un endroit qui est également protéger de l’eau qui peut arriver d’en haut, et surtout ne pas me mettre dans une cuvette ou autres, après une petite heures j’ai donc trouver un emplacement idéal, enfermer par les roches en face du glacier, sans trop de risque en cas de pluie et moins humide que la plupart des endroits.
La vidéo des bouquetins avec une petite descriptions général est disponible juste ici



















D’ailleurs j’ai recroiser 2 bouquetin un peut plus tard, sans doute un jeune male et une femelle, qui c ‘est d’ailleurs retrouver en face de moi a 5 mètres a peines car elle était derrière une roche et ne m’avait pas vue avant, encore une fois, aucune peur, elle m’a regarder 10 seconde puis a continuer a manger et a continuer sa route tranquillement, toute la soirée j’ai d’ailleurs entendue les jeunes bouquetin, mais également les roches que les jeunes fessait tomber.
Et donc voila pour cette première journée qui c’est passer comme prévue, même encore mieux que prévue













Etapes 2 : Alpage du Ritord – Col de Chavière – Polset
Les chiffres de l’étape

+850/950

16/17Km

2796 Altitude max

–1500

7H

Sentier/Gr55.




Puis le lendemain je devait donc rejoindre Modane et ont viendrait me chercher la haut, oui effectivement cela faisait un peut loin, surtout après une première journée très raid sans compter les 2 semaines de randonnée juste avant, sans compter la Bretagne bien sur, disons que j’ai vue un peut gro sur mon parcours, du moin, c’est ce que je pensait dans ma tête, il fallait donc que je me dépêche si je voulait pas rester une deuxièmes nuit, choses qu’il m’aurait pas déranger loin de la je peut faire sa tout les jours mais j’avait d’autre choses de prévue, et je voulait aussi profiter au maximum de mes proches, sinon je serait partit 1 semaines.


Je suit donc partit tôt le matin autour de 6h du matin, le temp de ranger, plier la tente et c’est repartit, je redescend donc tranquillement, la verdure et la flore commence a revenir petit a petit, j’ai d’ailleurs croisée un suisse qu’il ma dit, »keafer sont voyages », il m’a dit avoir peut d’endroit aussi sauvage que ca en suisse, car beaucoup de construction a droite a gauche, que ici, rien a l’horizon a part des montagnes.





Me voila donc redescendue dans la vallée autour de 1900 altitude vers 9h, mais, pour aller a modane, il fallait encore que je monte un col, le col de chavière culminant a 2796, environs 800/900 dénivelée positif car la vallée et enfermée par les montagne, mentalement ce fut encore une fois, pas simple, surtout quand tu te pose la question si tu arrivera a temp, si tu vas pas te faire bloquer par la neige car c’est aussi blanc qu’une glace vanille sur les hauteurs, et surtout sa parait très très haut, bref de nombreuse appréhension tout de même, même si bien évidemment je keaf mon expé, mais faut le dire, j’en ait galéré.

Et donc cette nouvelle vallée et vraiment sympathique, des paysages encore une fois, top, des glaciers, des montagnes, de jolie ruisseaux.








Puis j’ai continuer ma route pour arriver enfin sur le bas du col, beaucoup de névé a franchir, j’ai due tomber une fois ou 2, pas bien méchant c’est de la neige, mais des crampons d’alpiniste aurait été un peut plus adaptés.




Encore une fois, une pente très raid par les blocs de roches, le dernier sentier pour arriver au col et d’ailleurs très dangereux, le sentier et bien réel et visible mais il est aussi fin qu’un pas de chaussure donc vous serez obliger de mettre le pied en dehors et donc sur les pierres d’éboulis et donc le risque de glisser et ce retrouver en bas et très élevée, un jeune devant moi a d ‘ailleurs faillit glisser mais a réussit a ce rattraper a temp, en parlant de ca, éviter d’emmener vos jeunes enfant dans ce genre de sentier dangereux comme ca, si vous partez avec vos enfants prévoyez des chemins qui peuvent être dure, oui, mais pas dangereux, il y a d’ailleurs peu de photo du coin car cela demander plus de concentration.


Sur le col, encore une fois des paysages splendide, le col et pas très large et il y avait une bonne dizaine de personne j’ai donc prit 1 ou 2 photos pas plus car prendre les personnes en photo n’est pas mon keaf.
Puis je suit donc descendue tranquillement, encore une fois quelques névé plutot galère, car oui c’est préférable de les monter plutôt que de les descendre, heureusement que j’avait des bâtons sinon tu est certain de tomber toute les 10 secondes.









Bref me voila donc sur le bas, du col, et en route pour redescendre a modane, sur le chemin, ma cheville a encore lâchée, je ne suit pas tomber mais la douleurs fut très présente, chaque pas devenait très douloureux j’ai donc décider qu’ont viennent me chercher a polset, un peut plus haut que prévue, en passant par de magnifique chutes d’eau, plus loin, me voila arriver, pour 16h30/17h, donc parfait, malheureusement la douleurs a persister pendant environs 2 semaines. et voila c’est la fin de cette aventure dans le parc de la Vanoise, j’y retournerait le plus rapidement possible.











