L’ilots des capucins, une forteresse imprenables positionnée sur la presqu’il de Crozon, une exploration haut en couleurs et une descriptions sur les nombreuse bâtiments qui s’y trouve, les casernes, les batteries, les magasins de poutres, usine électrique, et d’autres, dont il ne reste que les constructions, un retour dans le passée.
Ici, on va parler de ma petite aventure dans cette fameuse zone ou l’accès est interdit sans autorisation.
La clairement, je n’ai pas pensé à avoir une autorisation, et puis si tu fais très attention il n’y a pas de raison, mais pour ce coup là, je comprend pourquoi il préfère que ce lieu reste interdit.
Car effectivement, c’est dangereux surtout pour y rentrer après le pont c’est la que tout se complique.. surtout avec un gros sac de randonnée, vraiment si vous y aller un jour faite très attention, surtout si vous passez par le, soit disant chemin en partant du haut, très abrupt, et très glissant quand il pleut… C’est franchement une bonne dose d’adrénaline, et l’autre chemin que j’ai pris pour remonter et quasiment pas entretenue, des buissons avec épines, sans compter que s’il a plu vous êtes certain de finir tremper jusqu’à l’os, mais vaut mieux ça que de glisser, j’ai d’ailleurs laissé mes bâtons sur le haut, car j’avait besoin de mes 2 mains pour descendre les roches je les ait récupérer en rentrant.


Je m’excuse d’avance pour la qualité des photos, mon appareil photo n’avait plus de batteries.
Avant toute choses, parlons de l’histoire de ce fort.
Ilot des capucins, pourquoi ce nom ? Car un rocher non loin du lieu ressemble à un moine en prière.


L’îlot et relier par un pont datant de 1859/1861, tout les support, on été détruit, par vent de tempête faite attention si vous le traverser.
Ce fort fut créé en 1848, des plateformes et des hautes batterie fut créé en 1694/1695 dont il ne reste rien.


Le site a subit beaucoup de modification, comme en 1880/1890 ou les batterie de mortier on remplacés les batteries de gros calibre.
Une batterie de rupture sous roc tirant a fleur d’eau sont installés.
Un magasin à poudre terrassé dans les années 1891\1893.

Avec un système de projecteur alimenté par une usine électrique.

En 1917 les deux canon de rupture de 47 tonnes sont démontées.

En haut sur la pointe, il existe une batterie haute (1885) à gauche et à droite de l’îlot, une batterie du plateau avec magasin à poudre sous roc, et une batterie de mortiers (1889).

Le magasin à poudre construit vers 1890-92 est un renforcement issu de la crise apparue à la suite de l’invention de l’obus torpille (seul le béton armé sur trois à douze mètres d’épaisseur, renforcé par une armature d’acier, lui résiste).

Bâti sous 6 à 8 mètres de roc franc il jouait le rôle de magasin général pour l’ensemble du groupe des Capucins, et alimentait les différents magasins des batteries.

Du vestibule nord part un tronçon de galerie menant à un puits vertical, autrefois équipé d’un monte-charge (disparu) et débouchant, comme l’escalier, sur la route en tranchée desservant les ouvrages (route autrefois équipée d’une voie ferrée étroite).
Également constitué d’un magasin au projectile vide ou encore un atelier d’amorçage et peut être d’autres dont je n’ai pas d’information.

Mais aussi une caserne de type 1848 et aussi présente sur le site.

L’ensemble a été très endommagé par les bombardements de la seconde guerre mondiale.

Le général allemand Ramcke, commandant de la place de brest, y installe son quartier général dans le but de livrer un ultime combat. Il se rend le 19 septembre 1944.

Comme dit dans l’article précédent c’est dans cette batterie qui ce trouve plus loin dans les terre que la phrase »Voici mes accréditation » prononcée par le général allemand Ramcke le 19 septembre 1944, qui devient la devise de la 8th infantry division américaine.

Donc voici pour la petite histoire du fort, je commence la visite avec ce passage a l’entrée après le pont qui est plutôt compliquée avec mon gros sac. Puis je commence à explorer la partie gauche, là où se trouve la caserne et je pense des positions de canon.

Puis je suis parti explorer ce qui reste de l’usine électrique et de la maison du gardien.


Un petit tour de l’autre côté de l’île pour trouver et descendre dans ce qu’il me semble être la batterie sous roc tirant a fleurs d’eau.

Puis une dernière visite dans une autre batterie basse de l’îlot des capucins.

Et c’est ici que se termine cet article sur cette ancien fort de guerre.

